Comment passez à l’action
Mise à jour du 19 novembre 2024
- Agissez contre les images de fœtus avortés en public !
- Cliniques et services d’avortement au Canada
- Se porter volontaire pour l’ARCC
- Consultez les prochains et anciens « ateliers de militants » de l’ARCC (en anglais)
- Demandez une petite subvention pour votre projet sur les droits reproductifs
Ce que vous pouvez faire pour protéger le droit à l’avortement
- Informez-vous sur les services d’avortement disponibles dans votre région pour y orienter vos proches en cas de besoin. Vous pouvez consulter les listes compilées par la CDAC ou par Action Canada.
- Si vous connaissez une personne qui a subi un avortement, apportez-lui votre soutien et votre bienveillance et encouragez-la à s’exprimer.
- Si vous avez subi un avortement, ne vous réfugiez pas dans le silence. Parlez-en ouvertement et invitez d’autres personnes dans la même situation à faire de même pour lutter contre la stigmatisation de l’avortement. Vous pouvez raconter votre histoire en ligne (safe2choose).
- Connaissez vos droits ! Votre droit de recourir aux services d’avortement est protégé par vos droits constitutionnels « à la vie, à la liberté et à la sécurité » de votre personne et à la « liberté de conscience ». Vous ne devriez pas débourser quoi que ce soit pour obtenir ces services, même en clinique privée. L’avortement est un service médicalement nécessaire assuré par les provinces et les territoires en vertu de la Loi canadienne sur la santé.
- Trouvez qui est votre député•e•x, et si cette personne figure sur notre liste de Députés opposés au libre-choix ou dont la position est inconnue.
- Si oui, dites-lui par courriel ou par téléphone que son rôle politique ne doit pas servir à imposer ses opinions religieuses au public et à l’électorat. Exigez de cette personne qu’elle protège ouvertement les droits constitutionnels des personnes capables de grossesse dans le cadre de son mandat.
- Si vous ne connaissez pas sa position sur le sujet, posez-lui la question et transmettez la réponse à la CDAC.
- Si votre député•e•x est pro-choix (c.-à-d. que son nom n’est pas dans la liste), écrivez-lui ou téléphonez-lui pour lui demander de défendre ouvertement le droit à l’avortement lorsque c’est nécessaire.
- Au besoin, vous pouvez vous inspirer de ce modèle de lettre.
- Faites circuler notre liste de Députés opposés au libre-choix autour de vous. Distribuez-la à vos proches et à vos collègues et demandez-leur de vérifier la position de leur député•e•x et de réagir en conséquence.
- Abonnez-vous à la liste de diffusion de l’ARCC-CDAC pour suivre l’actualité des questions de justice reproductive ou pour passer à l’action. Ou consultez notre page de nouvelles pour connaître les mesures à prendre.
- Devenez membre, bénévole ou faites un don à un groupe pro-choix ou à une clinique d’avortement de votre région; et encouragez vos relations à faire de même.
- Organisez des campagnes et des événements pro-choix ou participez-y.
- Signez et diffusez des pétitions en faveur des droits reproductifs et contre les obstacles ou les restrictions à ces droits.
- Rédigez des messages et publiez des commentaires de soutien des droits reproductifs dans les médias, surtout en réponse à des articles ou à d’autres messages présentant un parti pris anti-choix.
- Affichez votre présence dans les blogues libéraux et pro-choix en publiant des commentaires informatifs qui soutiennent la justice reproductive et qui portent sur l’actualité dans le domaine de l’avortement. Réfutez la désinformation anti-choix.